barrage-usine de Saint-Egrève (voir Basse-Isère)
barrage-usine de Saint-Egrève, vue aérienne
doc.EDF-D.Guillaudin
1988 - chantier de St-Egrève, pertuis d'alimentation des 2 groupes bulbes, chaque groupe de 23 MW peut absorber 250 m3/sec
A comparer avec le nouveau groupe Pelton de la Coche-SteHélène qui est 10 fois plus puissant, absorbe 10 fois moins d'eau mais,
la hauteur de chute est 100 fois supérieure !
1988 - chantier de St-Egrève, coffrage intérieur de l'aspirateur d'un groupe bulbe
doc.la Vie Electrique
St-Egrève - vue amont
St-Egrève - vue aval, chacune des 5 passes est équipée d'une vanne segment de 25m, le débit de crue maximum à évacuer est de 3 000 m3/sec
centrale de St-Egrève, vue en coupe sur un groupe bulbe
St-Egrève - le barrage et la centrale, à l'extrémité
photo André Demander pour Panoramio
barrage-usine de Saint-Egrève, vue aérienne
doc.EDF-D.Guillaudin
1988 - chantier de St-Egrève, pertuis d'alimentation des 2 groupes bulbes, chaque groupe de 23 MW peut absorber 250 m3/sec
A comparer avec le nouveau groupe Pelton de la Coche-SteHélène qui est 10 fois plus puissant, absorbe 10 fois moins d'eau mais,
la hauteur de chute est 100 fois supérieure !
1988 - chantier de St-Egrève, coffrage intérieur de l'aspirateur d'un groupe bulbe
doc.la Vie Electrique
St-Egrève - vue amont
St-Egrève - vue aval, chacune des 5 passes est équipée d'une vanne segment de 25m, le débit de crue maximum à évacuer est de 3 000 m3/sec
centrale de St-Egrève, vue en coupe sur un groupe bulbe
St-Egrève - le barrage et la centrale, à l'extrémité
photo André Demander pour Panoramio